On vient de le voir, notre ennemi n’est pas seulement intérieur, il est aussi extérieur : « De l'époque de Spartacus-Weishaupt à celle de Karl Marx, jusqu'à Trotski (Russie), Béla Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (Etats-Unis), cette conspiration mondiale destinée à détruire la civilisation pour reconstituer une société fondée sur la stagnation, sur la malveillance et l'envie, et sur une impossible égalité, n'a fait que croître. Elle a joué, comme l'a si habilement montré un écrivain moderne, Mme Webster, un rôle clairement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution Française. Elle a été derrière tous les mouvements subversifs du XIXe siècle; et à présent, pour finir, cette bande de personnages extraordinaires issus de la pègre des grandes villes d'Europe et d'Amérique a empoigné le peuple russe par les cheveux pour devenir pratiquement les maîtres incontestés de cet énorme empire ». (Winston Churchill, Illustrated Sunday Herald, 8 février 1920) « Oubliez la racine du nouvel ordre d’Hitler ; David Rockefeller a utilisé l'expression avant. » (William Safire). Si l’on veut connaître la stratégie mondialiste, il est essentiel d’étudier la géopolitique. Dietrich Eckart fut le premier à mettre en application cette science inventée par Friedrich Ratzel et Karl Haushofer. De nos jours, toutes les nations sont d’accord : « pas de politique sans géopolitique ». Le Français possède une chance que le non-francophone ne possède pas, il parle la même langue que l’un des plus grands géopoliticiens de notre temps. Pour décortiquer la stratégie de l’ennemi, on ne peut que se reporter à ses ouvrages :
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Minorité et régionalisme dans
l’Europe des Régions de Pierre Hillard
La décomposition des nations européennes de Pierre Hillard
La marche irrésistible du Nouvel Ordre Mondial de Pierre Hillard