samedi 13 décembre 2008

Conséquence et éthique de la nordicité

La nordicité n’est pas seulement physique, elle est aussi mentale. Elle est une « aristocratie » (société des meilleurs). C’est le degré le plus élevé d’une auto-exigence physique et morale. Les membres de l’aristocratie furent nommés de diverses manières à travers l’Histoire : Chevaliers, achéménides, samurais, ksatriyas… mais partout en est résulté la même sagesse, la même droiture, la même morale : " Aristocrates, aristocrates, nous appelons-nous. Nous combattons pour la vertu élevée, pour le haut effort, pour la sublime sagesse. La victoire sur le soi dompté " (Anguttara-nikâya) " Le guerrier brille dans son armure. " (Dhammapâda) " Pour le guerrier, l’expérience du cœur tendre est ce qui lui donne son courage. La vraie bravoure est le fruit de la sensibilité. Vous êtes prêts à vous ouvrir au monde sans résistance et à faire face au monde. Vous êtes prêts à partager votre cœur avec les autres. Sans sensibilité, le courage est fragile comme la porcelaine. " (Chögyam Trungpa) Toutes les aristocraties ou noblesses (en référence à la noblesse de cœur) furent fondées sur le mérite et l’hérédité. Bien des principes en découlent : la trinité de l’individu (corps-âme-esprit) dont l’harmonie se brise par le métissage ; la trinité sociale (bellatores-oratores-laboratores) ; la féodalité (loyauté hiérarchique et confiance mutuelle). Toutes ces règles n’ont qu’un but : la prise en considération et la compréhension de l’ordre naturel (ou équilibre universelle). C’est la nature qui détruit quiconque ne la respecte pas. On peut ainsi comprendre que l’aristocratie de l’humanité (la nordicité de la race blanche), c’est ce principe qui découle du lien métaphysique entre l’homme (le sang) et la nature (le sol). Ces deux livres donnent les clés de la renaissance de l’esprit nordique :
-
L'Ordre SS d'Edwige Thibaut